Je ne pourroy desjeuner de bailer
Comme feroit le gentilhomme en Beausse,
Il ne faut point, quant on doit, tant railler,
Argent content porte tousjours sa saulse.
Mais debiteur qui sa promesse fausse,
Cuide jouer si cautement son rolle,
Qu’il poyera ses debtes par parolle,
Comme me fait
le preud’homme Velin ;
Je ne croy pas que chancre ou la verolle
Ronge si fort, qu’un avare malin.